Pan's Labyrinth + Paprika
Comme je suis (enfin) allé au cinéma récemment, autant se rattrapper sur les chroniques :
PAN'S LABYRINTH : Le film que je tenais absolument à voir.
Sorti début novembre j'ai mis un certain temps avant d'aller le voir mais j'y suis allé (c'est le principal) et je n'ai pas été déçu. L'histoire se passe en 1944 dans l'Espagne franquiste, Ophélia, jeune fille de 10 ans dont la mère s'est remariée avec un capitaine de l'armée, découvre un labyrinthe dont l'issue la mène à un faune. Censée être la reine d'un royaume enchanté, la jeune Ophélia devra réussir 3 rudes épreuves pour prouver qu'elle est bien celle qui gouvernera ce royaume.
Que dire mis à part que ce film est beau. Digne des Tim Burton de la grande époque, Guillermo Del Toro arrive dans ce film à nous faire glisser de la réalité à l'imaginaire de la même manière que Big Fish. Très noir aussi, ce film ne tourne pas uniquement autour de l'imaginaire mais nous montre aussi la réalité qu'endure Ophélia. Sergi Lopez campe à merveille le rôle de Vidal, capitaine sans pitié de l'armée franquiste dont sa bataille face aux rebelles va le mener à la folie.
Un merveilleux conte (noir) de Noël à voir si ce n'est déjà fait (ou s'il est encore au cinéma).
PAPRIKA : Dans le futur, une machine capable de rentrer dans les rêves (le DC Mini) a été inventée. Pourtant en phase de test l'appareil a été dérobé créant un vent de panique au sein de l'équipe de chercheurs ayant mis au point cette machine dont les conséquenses, si elle se retrouvait en de mauvaises mains seraient desastreuses. De son côté le détective Kogawa semble suivre une thérapie sur ses rêves avec un mystérieuse femme prénommée Paprika. Si vous avez aimé eXistenZ et que vous êtes fans de mangas, ce film est pour vous. Malheureusement, malgré une histoire attirante, le film est un peu flou et se perd un peu dans la première partie. Après on se laisse aisément guider dans cet univers créé par Satoshi Kon (réalisateur de Perfect Blue) auquel on pourra repprocher le manque d'explications et/ou de clarté. Au final, il manque un petit quelque chose pour que ce soit un bon film.


Que dire mis à part que ce film est beau. Digne des Tim Burton de la grande époque, Guillermo Del Toro arrive dans ce film à nous faire glisser de la réalité à l'imaginaire de la même manière que Big Fish. Très noir aussi, ce film ne tourne pas uniquement autour de l'imaginaire mais nous montre aussi la réalité qu'endure Ophélia. Sergi Lopez campe à merveille le rôle de Vidal, capitaine sans pitié de l'armée franquiste dont sa bataille face aux rebelles va le mener à la folie.
Un merveilleux conte (noir) de Noël à voir si ce n'est déjà fait (ou s'il est encore au cinéma).
PAPRIKA : Dans le futur, une machine capable de rentrer dans les rêves (le DC Mini) a été inventée. Pourtant en phase de test l'appareil a été dérobé créant un vent de panique au sein de l'équipe de chercheurs ayant mis au point cette machine dont les conséquenses, si elle se retrouvait en de mauvaises mains seraient desastreuses. De son côté le détective Kogawa semble suivre une thérapie sur ses rêves avec un mystérieuse femme prénommée Paprika. Si vous avez aimé eXistenZ et que vous êtes fans de mangas, ce film est pour vous. Malheureusement, malgré une histoire attirante, le film est un peu flou et se perd un peu dans la première partie. Après on se laisse aisément guider dans cet univers créé par Satoshi Kon (réalisateur de Perfect Blue) auquel on pourra repprocher le manque d'explications et/ou de clarté. Au final, il manque un petit quelque chose pour que ce soit un bon film.